Pourquoi il ne fallait surtout pas manquer le dernier FIC
Le plus grand salon européen de cybersécurité vient de s’achever à Lille.
Une fois n’est pas coutume, nous privilégions cette fois un format léger et lapidaire pour résumer cet événement aussi convivial que passionnant, qui rassemble plus de 600 acteurs de l’écosystème et près de 30 000 visiteurs pendant 3 jours.
Pourquoi il ne fallait surtout pas manquer le dernier salon du FIC ?
Parce que c’était l’occasion de prendre en direct un cours d’ecosystem building avec le plus truculent des leader du cloud
D’arpenter le salon aux côtés d’un ambassadeur des JEDI
De revoir l’une des meilleures investigatrices numériques de la police nationale
De saisir enfin le véritable enjeu anthropologique de l’IA avec un sémillant philosophe
D’approfondir les 50 nuances de la CTI
De creuser la complexe cartographie du marché français de la souveraineté
D’assister à une des plus formidables leçons de fact checking réalisées par la BBC
De se convaincre de l’incroyable ingéniosité de la communauté Osint française
Et d'initier un débat sur le jacobinisme mal avisé et le capitalisme de rente, les Charybde et Scylla de toute politique industrielle informatique française
Le salon était aussi de retrouver l’édition papier du magazine Cyberleaders pour lequel nous avons réalisé plusieurs entretiens et une enquête de fond :
“Europol face à la cybercriminalité : l’urgence de briser les silos. Entretien avec le général Jean-Philippe Lecouffe.”
“Un acteur clé pour la cybersécurité des TPE et PME : l’engagement de Jérôme Notin au sein de cybermaveillance.gouv”
“Au coeur de la lutte anticybercriminalité”, enquête long-format
“L’authentification de demain pour une cybersécurité souveraine. Entretien avec Pierre Chassigneux.”
“Réconcilier finance traditionnelle et crypto-monnaies. Entretien avec Claire Balva.”
“Blockchain et crypto-actifs : les défis d’un monde décentralisé. Entretien avec Hubert de Vauplane.”
Les lecteurs intéressés par l’un de ces formats peuvent nous écrire à contact[@]alyghieri.com, s’ils souhaitent recevoir l’article en format PDF.